dance for plants

Avec Loup Rivière

 

Le 07 juillet 2022

14h - 18h

 

 

Loup Rivière de dance for plants pro­pose un work­shop d’une après-midi dans le jardin de Pauline Perplexe avant le démé­na­ge­ment prévu en fin d’année, comme une façon de passer un moment dans l’inti­mité des savoirs d’un lieu. Comment fait-on lieu, et com­ment les lieux qu’on fait et qu’on défait, qu’on trans­forme, nous font et nous défont, nous for­ment et nous infor­ment, nous trans­for­ment ? On y pren­dra le temps de se raconter les his­toi­res des choses, les traces et les sou­ve­nirs, et de se regar­der bouger dans les endroits qu’on écoute (et peut-être y dépo­ser d’autres his­toi­res à déplier plus tard).

 

 

dance for plants pro­pose des work­shops et des per­for­man­ces dans des jar­dins, des écoles, des forêts, des appar­te­ments et des musées. Le col­lec­tif est en rési­dence long terme au Laboratory for Aesthetics and Ecology (Danemark) et a tra­vaillé dans dif­fé­ren­tes uni­ver­si­tés et cen­tres d’arts à Paris, Bruxelles, Anvers, Copenhague, Helsinki, Stockholm, Väjxö, Reykjavik, Montreal, New York, Brno, Aix-en-Provence, Bourges, Marseille et en Ariège.

 

Loup Rivière est dan­seuse et tha­na­doula. Elle fabri­que des endroits où pren­dre soin des rela­tions entre les mort·es et leurs vivant·es, dans dif­fé­rents contex­tes et tem­po­ra­li­tés.

Elle a fondé le col­lec­tif dance for plants (2016) et publié les textes ‟Je suis pas trans dans la forêt”, ‟Danser est un Service Écosystémique et être trans aussi” et ‟Lesbiennes géo­lo­gi­ques, bites de meufs et autres his­toi­res – un poème étendu”. Elle tourne actuel­le­ment son solo armes molles (2021).

Dans le cadre de Eaux Courantes, une rési­dence croi­sée par La Bièvre entre Pauline Perplexe et Bétonsalon – centre d’art et de recher­che.

Avec le soutien du minis­tère de la Culture - DRAC Ile-de-France

À l'invitation de Christel Conchon. Merci aux membres de Pauline Perplexe, Emilie Renard, Mathilde Belouali-Dejean, Natacha Marini, Antoine Barberon.